Réduction du soutien

Nulle part ailleurs, SAP n'a une marge de contribution aussi élevée : la majeure partie des frais de maintenance peut être comptabilisée comme bénéfice - Oracle, Microsoft, IBM, etc. gagnent aussi très bien leur vie avec les paiements de licences pour le support.
Grâce à la monoculture Hana, SAP a la possibilité d'augmenter encore fortement cette marge de contribution - notamment en libérant des collaborateurs de support, environ 1000 cette année, et ce n'est qu'un début.
Avec deux plates-formes matérielles (Intel Xeon et IBM Power), deux versions de Linux (Red Hat et Suse) et une base de données (Hana), le support SAP est très léger.
La question de savoir si l'on peut renoncer aux connaissances traditionnelles d'Oracle, d'IBM DB2, de MS SQL Server et des nombreuses plates-formes matérielles et systèmes d'exploitation disponibles dans la communauté au profit du cloud computing se posera au plus tard en 2025.