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Dans la dernière étude PAC "Social Collaboration dans Allemagne, France et la Grande-Bretagne 2013" montre Allemagne sur le thème du social Collaboration plutôt comme des retardataires.
Seul un domaine sur cinq fait état d'initiatives partiellement ou totalement mises en œuvre dans ce domaine.
Dommage ! En effet, une collaboration efficace est essentielle pour les entreprises qui considèrent souvent le savoir comme leur principale ressource stratégique, qui agissent à l'échelle mondiale et qui vivent de leur force d'innovation.
La décision prise par les chefs de service en Allemagne Le besoin d'action rapporté pour des thèmes clés tels que la mise en réseau interdisciplinaire, le traitement commun de documents ou une gestion efficace des tâches le confirme.
Dans ce contexte, le grand scepticisme des domaines spécialisés allemands dans l'évaluation de l'environnement n'est que partiellement justifié. En effet, en matière de culture de communication ouverte ou d'autodétermination des Collaborateurs les entreprises n'ont pas à se cacher.
Le principal frein réside plutôt dans les préoccupations prononcées en matière de sécurité ainsi que dans les exigences plus élevées que la moyenne en matière de réalisation, qui y sont également liées. Ce penchant typiquement allemand pour la perfection est certes compréhensible pour certains thèmes.Mais il est aussi dangereux. Car le social Collaboration doit se développer, il ne peut pas être planifié à la perfection.
Mais si l'on commence par attendre et par miser sur les interdictions jusqu'à ce que l'environnement soit parfait, on risque de prendre du retard sur la concurrence.
- Le besoin de Social Collaboration Les domaines spécialisés font état d'un besoin d'action élevé ou très élevé sur des thèmes tels que l'identification des experts et des connaissances (66%), le traitement commun des documents (61%) ou la promotion de la mise en réseau interdisciplinaire (57%).
- Mais Allemagne Seuls 21% des services ont mis en œuvre (partiellement) des projets de SC, contre 38% en Grande-Bretagne. Près d'un service sur deux n'a encore lancé aucune initiative dans ce domaine.
- environnement est jugé de manière critique - l'engagement du Gestion manque !
Personnes interrogées en Allemagne se montrent également plus critiques que la moyenne en ce qui concerne l'évaluation de l'aspect social.Collaboration-Pour de nombreux critères, le scepticisme semble infondé. Mais : dans seulement onze pour cent des entreprises allemandes, l'entreprise est engagée dans le processus d'évaluation. Gestion actifs - au Royaume-Uni, ce chiffre est de 35 pour cent. - Planification stratégique et solutions intégrées ? Dans Allemagne souvent raté !Allemagne est également à la traîne dans la mise en œuvre pratique de Social Collaboration un projet sur deux en Allemagne n'est pas planifiée de manière stratégique à long terme, différentes applications individuelles sont souvent utilisées. PAC estime qu'il y a là un énorme retard à rattraper.
Leçon de démonstration pour Social Collaboration dans la pratique ont été fournies ces jours-ci par les nombreux bénévoles qui ont aidé à faire face aux inondations dans les régions allemandes touchées par les inondations. Dans l'article de blog "Social CollaborationRegardez cette ville !
Ce que les chefs d'entreprise allemands peuvent apprendre des sauveteurs des inondations de Dresde", notre collègue de Dresde Andreas Stiehler résume les leçons qui peuvent en être tirées pour les chefs d'entreprise :
- Les entreprises ne peuvent pas éviter durablement les réseaux sociaux. Collaboration autour
- Social Collaboration exige de la confiance et la volonté d'accepter des changements dans la culture
- Ceux qui utilisent Social-Collaboration-Si l'on empêche sans alternative les initiatives de l'entreprise, on se prive d'avenir.
- Les interdictions ne sont pas des solutions, il faut créer des alternatives
- Le marketing social et les services à la clientèle nécessitent une "entreprise sociale
Notre conclusion :
Chaque Médias sociaux-Si l'entreprise n'agit pas en tant qu'entreprise sociale, l'initiative est vaine. Et pour cela, il faut des réseaux sociaux. Collaboration.
Les entreprises allemandes doivent s'ouvrir davantage et accompagner ce thème de manière proactive. La proactivité ne consiste pas à ouvrir la porte aux réseaux sans réfléchir, mais à utiliser les réseaux sociaux comme un moyen de communication.Collaboration-Les initiatives de la Commission européenne en matière d'éducation et de formation tout au long de la vie doivent être planifiées de manière stratégique, l'utilisation des applications correspondantes doit être encouragée par la Commission européenne. Collaborateurs d'encourager de manière ciblée, de définir des règles et d'intégrer le réseautage social dans les processus sur le plan technique et organisationnel.
Le site Gestion a une responsabilité particulière à cet égard. Il ne suffit pas de lancer de nouvelles initiatives ou des projets pilotes. Les cadres doivent eux-mêmes utiliser activement les nouvelles possibilités - c'est-à-dire : les réseaux sociaux. Collaboration donner l'exemple. La Grande-Bretagne montre que c'est possible et que cela fonctionne.
Nicole Dufft analyse depuis plus de dix ans les évolutions et les tendances du marché dans le secteur des TIC, en se concentrant sur les thèmes du cloud, Collaboration et de la mobilité. En tant que membre de la direction de PAC Allemagne, elle dirige la Business Unit PAC/Berlecon à Berlin ainsi que l'équipe d'étude de marché PAC à Hambourg.