LkSG : juste, transparent et équitable


Une nouvelle publication des éditions Huss explique la nouvelle loi sur la chaîne d'approvisionnement
Le format des questions-réponses permet notamment de savoir si l'on doit vérifier que tous les fournisseurs ne violent pas les droits de l'homme, si les filiales font également partie de son propre domaine d'activité ou combien de temps il faut approximativement pour préparer et mettre en œuvre toutes les exigences légales minimales. A partir de 2024, la loi s'appliquera également aux entreprises de plus de 1000 employés, qui peuvent déjà se préparer en conséquence. La loi sur les obligations de vigilance de la chaîne d'approvisionnement (LkSG) annonce un changement de paradigme urgent et nécessaire en Allemagne : Si la responsabilité d'entreprise au niveau volontaire n'a pas d'effets sur les chaînes d'approvisionnement, alors les prescriptions en matière de droits de l'homme et de protection de l'environnement doivent être rendues obligatoires et mises en œuvre par des mesures publiques afin d'identifier les risques, de prévenir les violations, de les minimiser ensemble et d'y mettre fin.
Voilà pour la théorie, le Deutschsprachige SAP-Anwendergruppe e. V. (DSAG) va maintenant - avec le soutien de SAP - fournir l'utilité pratique dont on a besoin de toute urgence pour la LkSG. "Après tout, nous devons tous gérer de manière optimale la nouvelle loi avec les infrastructures informatiques, les licences logicielles et les contrats de maintenance existants ; car les charges administratives et les exigences légales vont continuer à augmenter", explique Karin Gräslund, responsable des finances et de la durabilité chez DSAG.

“Pour les consultants, il est essentiel d'avoir une vue d'ensemble des processus actuels d'une entreprise en très peu de temps.“
Karin Gräslund,
Directeur des finances et de la durabilité, DSAG
La loi sur le devoir de diligence des entreprises dans les chaînes d'approvisionnement - en abrégé LkSG (Lieferkettensorgfaltspflichtengesetz) - a été adoptée le 11 juin 2021 par le Bundestag allemand et oblige les entreprises ayant leur siège ou une succursale en Allemagne à respecter, à mettre en œuvre et, si nécessaire, à sanctionner le devoir de diligence en matière de droits de l'homme au sein de leurs chaînes d'approvisionnement mondiales. Toutefois, les devoirs de diligence ne s'appliquent juridiquement qu'aux fournisseurs directs et, le cas échéant, à leurs sous-traitants. Cela sera certes utile sur le plan juridique dans la lutte contre les violations des droits de l'homme et la destruction de l'environnement, mais ce message est beaucoup trop court pour une "secousse proactive de la société entrepreneuriale" très pratique.

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