Un couple disparate cherche un départ commun
![[shutterstock : 1063275593, Yurchanka Siarhei]](https://e3mag.com/wp-content/uploads/2020/11/shutterstock_1063275593.jpg)

La technologie blockchain est devenue un sujet important pour de nombreuses autorités fédérales et régionales. 52 projets peuvent être identifiés pour l'Allemagne et les Länder dans les différentes stratégies de numérisation. Cependant, une grande partie des projets concernant la technologie blockchain et ses options d'application possibles en sont encore au stade des idées.
C'est ce que montre une nouvelle étude de Bearingpoint, qui a identifié, analysé et évalué tous les projets et intentions actuellement en cours sur la technologie blockchain dans l'administration publique en Allemagne. L'étude montre que la discussion sur l'innovation numérique blockchain est menée à une large échelle dans l'administration publique allemande.
De nombreuses autorités sont désormais conscientes de l'importance de cette technologie numérique et ont adopté ce thème d'avenir important afin de pouvoir orienter leurs propres offres de prestations vers l'avenir. Mais sur les 52 projets menés au niveau fédéral et dans les Länder, 31 en sont encore au stade de l'idée ou de la planification.

Le passage de l'idée et d'une première conception à un pilote ou même à un système en direct accessible aux citoyens est encore de la musique d'avenir. Ainsi, sur une échelle de dix niveaux, le degré de maturité de tous les projets et intentions considérés est actuellement de 2,42 en moyenne.
Pour de nombreux projets, des études de faisabilité sont disponibles, mais les concepts techniques pour une mise en œuvre ultérieure dans la pratique font encore généralement défaut. En ce qui concerne le degré de maturité, l'État fédéral s'en sort légèrement mieux avec une moyenne de 2,84 pour 19 projets que les Länder avec 2,18 pour 33 projets.
Comme le montre l'étude Bearingpoint, l'utilité de la blockchain dans l'administration publique est surtout attendue dans la possibilité de vérification automatisée des identités ainsi que dans la sécurité contre les manipulations et la disponibilité des données. Sur le plan organisationnel, le principal défi réside dans le fait que la maturité de la technologie n'est pas encore jugée suffisante pour prendre la décision de mettre en place une procédure sur la plateforme d'une blockchain.
1 commentaire
Werner Dähn
Was sich mir nicht erschließt ist, warum sollte eine zentrale Organisation eine Lösung bauen, die mit großem Overhead dafür sorgt, dass es keine zentrale Organisation geben muss?
Blockchain basiert auf zwei Grundsätzen:
1. Nichts kann verändert werden, immer nur hinzugefügt werden. Alternative ist eine Insert-only Tabelle.
2. Es gibt keine Zentralinstanz der man vertrauen muss, sondern wenn die Mehrheit der Server sagt: “Das ist richtig”, dann gilt es. Alternative ist eine Datenbank als Backend.
Wenn jemand der öffentlichen Verwaltung nicht vertraut, dann hilft auch eine Blockchain nichts. Und wenn man der öffentlichen Hand vertraut, dann kann man auch deren Datenbank vertrauen. Damit erreicht man das Gleiche zu einem Bruchteil der Kosten und des Overheads.
Sieht irgendjemand einen Fehler in meiner Argumentationskette?